Ce roman déluré, sœéchafaudant à lœintérieur de ses propres coulisses, met en scène un personnage qui se démembre, qui se démantibule à mesure quœil tombe dans « le trou du vivant . Ce livre, cœest le trou, cœest la vie. Cœest la seule certitude. Se posséder est impossible : tout semble avoir été programmé, dessiné, décidé dœavance, écrit par un autre que soi. Objets réalistes ou invraisemblables, références littéraires, artistiques et cinématographiques, inondations, débcles, sauvetages, rafistolages, portes, corridors et salles, « du décor, du décor, du décor et encore du décor . Tout converge pour déboucher sur le Bureau universel des copyrights, là où lœon apprend que « chaque mot, chaque matière, chaque objet, chaque lettre, chaque parcelle de vie, chaque idée, chaque personnage a son copyright .